Résumé:
Dans notre thèse qui s’intitule Etude comparative des espaces urbains dans Nulle part dans la maison de mon père, Les Alouettes naïves, chez Assia DJEBAR ; et Je ne parle pas la langue de mon père, Fatima ou les algériennes au square, chez Leïla SEBBAR, nous avons donc choisi de confronter la vision que chacune des écrivaines a de ces espaces urbains. On s’est penché sur l’espace privé et l'espace public, ce qui nous a permis de constater à la fois des analogies et des oppositions chez les deux auteures concernant ce thème. Un espace public qui apparaît tantôt idéalisé tantôt traumatisant, et un espace privé qui semble soit emprisonnant soit libérateur et sécurisant