Abstract:
Avec L’Amour, la fantasia, Assia Djebar inaugure un nouveau cycle
romanesque où la romancière, pour s’insinuer dans les zones d’ombre de l’Histoire et
porter la lumière sur certains vécus, recourt à une esthétique de la fragmentation. Cet
article s’attachera à montrer un aspect de la remarquable structuration de ce texte
constitué de divers morceaux, en quête de mémoire.