الخلاصة:
Soucieux de comprendre les mutations qui touchent leur société, les auteurs algériens de diverses générations abordent la migration en mettant en scène des personnages complexes, dotés d’une individualité propre, le plus souvent tourmentés ou névrosés. Écrire la migration, c’est traduire en premier lieu des réalités factuelles : celles de l’exil, de l’errance, du déracinement, de la nostalgie du pays perdu, de la double identité, de l’échec du départ...etc.