Abstract:
La recherche scientifique relative au domaine du sport soit-elle ou non, se pense, se formule et se transmet grâce à la langue qui véhicule l’information entre différents chercheurs et plusieurs disciplines et époques. Cette langue diffère d’un chercheur à un autre, d’une culture à une autre et même d’une discipline à une autre; la traduction se propose alors, comme moyen de facilitation d’exploitation des écrits scientifiques ; ainsi la présente étude vise à définir les difficultés que rencontrent les spécialistes du sport, en l’occurrence les chercheurs dans le domaine des sciences appliquées au sport, lors de l’opération traduisante ;pour ce faire nous avons mené une enquête par questionnaire auprès d’un échantillon d’enseignants chercheurs de l’ES\STS. Les résultats montrent que le pourcentage de difficulté d’ordre terminologique est le moins élevé ne dépassant pas les 30% des réponses, de même, le pourcentage de difficulté en traduction de ou à partir du français, est le moins important comparé à ceux des autres langues concernées par la présente étude.
Scientific research, whether it is related to the sports field or not, is thought of, formulated
and transmitted through the language, which conveys information between different
researchers and several disciplines and eras. This language differs from one researcher to
another, from one culture to another, and even from one discipline to another, translation thus,
is used as a means of facilitating the exploitation of scientific writings; hence this study aims
to define the difficulties encountered by researchers in the field of sport’s applied
sciences while translating; we conducted a questionnaire survey on a sample of ES\STS’
professors. The results showed that the percentage of terminology difficulties is the lowest